Le Cri de la Virgule

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Philippe Katerine : Je m’éloigne d’autant que je m’approche (2010)

paquita | 3 février 2017

Afficher l'image d'origineComme le suggère la tendre pochette de ce disque : “Qu’il est bon parfois de se laisser dorloter” ! Alors, abandonnez-vous à la chaleureuse présence de cet artiste généreusement dada, présent sur la scène francophone depuis 1991 ! En 24 titres, papa Katerine saura vous redonner le sourire et même, un petit coup de pied où il faut si nécessaire ! « Des bisoux » pour le moelleux et arborer le sourire radieux du maître, accepter vos tourments intérieurs avec « Bien Mal » (le clip enfoncera le clou), faire sortir le (la) rebelle qui est en vous avec « Liberté » tout de suite après mangez « La banane » et retrouvez votre côté punk dans « La reine d’Angleterre » ensuite faite des gosses avec « Philippe » (vous comprendrez à l’écoute) allez vous aérer un jour de fort indice de pollution en « Parivélib » tout en écoutant le vivifiant « Morts-vivants » remettez-en une couche avec « J’aime tes fesses » subtil hommage à Gainsbourg, reprenez votre souffle, voilà, vous vous éloignez d’autant que vous vous rapprochez , plus que 15 titres à déguster et c’est l’absolue plénitude :-)

Pedigree : dessinateur, basketteur de haut niveau, chanteur, auteur, compositeur, acteur, ce bon père de famille est doté d’un sens de l’autodérision qui confine au génie.

L’univers : avec ses textes décalés, l’univers musical de Philipe Katerine est riche et lorgne autant du côté de la variété que de l’électro, du rock ou de la bossa. Tralala.

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Arne Vinzon : le monde entier (2011)

paquita | 6 avril 2013

http://arnevinzon.com/medias/images/album_001.jpgEn ces temps de crise généralisée, qu’il est bon de se réchauffer le corps et le cœur dans un bain de musique. Mais pas n’importe lequel. Arne Vinzon et son album intitulé Le monde entier (titre programmatique) saura vous transporter en des régions peu visitées par le genre électro : celles de l’humour ! Mais un humour décalé, plein d’une imagination hallucinée, au croisement de l’enfance (”Les otaries”), de l’absurde (”Le coiffeur du château fort”, “Mon téléphone il est super”) ou du surréalisme (”Lapin”) les qualificatifs pouvant s’intervertir… Pourtant, ces derniers sont insuffisants à restituer la qualité incontestable des textes. Car derrière l’humour, on repère un véritable amour des mots, de la poésie et surtout la “politesse du désespoir” des vrais dandys (”Tempête du mois doux”, “Les secondes”). Cette veine plus sombre est clairement affichée par l’usage des synthés, héritiers de la New Wawe des 80′, diaboliquement dansants. Ils inspirent au chanteur et le cas échéant, aux claviers, des chorégraphies tout-à-fait intéressantes et inspirantes (vu et approuvé au Divan du Monde). En fin de compte, il y a une évidente parenté entre l’album faussement joyeux d’Arne Vinzon et celui vraiment désenchanté de Michel Houellebecq, Présence humaine, paru en 2000. On achèvera cette comparaison peut-être osée mais quand même pertinente, entre ces “deux enfants du siècle”, avec les vers mélancoliques (eh oui les vers aussi) du tubesque “Lente dépression”  :

Notre nom sera oublié avec le temps
Nul ne se souviendra de nos actions
Notre vie passera comme la trace d’une nuée
Se dissoudra

Merci Arne Vinzon pour vos “chansons en cristal” ;)

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Arne Vinzon, humour, new wawe
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Catherine Ribeiro : (libertés ?)

paquita | 26 janvier 2013

Écouter un disque de Catherine Ribeiro est une expérience auditive intense, physique. Chanteuse du groupe Alpes, elle apparait sur la scène musicale française après mai 68. La voix de Catherine Ribeiro est à son image : belle, profonde, grave, parfois incantatoire (”Le temps de l’autre”, “La voix”), toujours habitée. On y reconnaît la théâtralité de la chanson réaliste ou encore les élancements brisés du fado. Ses textes évoquent la poésie radicale d’Antonin Artaud et l’engagement politique de Léo Ferré. S’y ajoute un habillage musical expérimental forgé par son compagnon Patrice Moullet, entre rock progressif, free-jazz et même dark-folk. Ensemble ils œuvrent contre le formatage de la chanson traditionnelle, avec des titres atteignant parfois les 18 mn (”Poème non épique”), qui s’approchent des performances du Velvet Underground. On l’aura compris, Catherine Ribeiro + Alpes ne fait ni dans la concession, ni dans la demie-mesure. Néanmoins, contrairement à Gérard Manset, autre rebelle à l’industrie musicale, Catherine Ribeiro donne des concerts, bénéficiant ainsi d’une certaine couverture médiatique. Mais son étiquette de chanteuse marginale ne lui permet pas d’atteindre la reconnaissance qu’elle espère. La liberté de ton ne doit pas mourir : écouter Catherine Ribeiro en 2013, c’est donner raison à l’exigence de la chair à vif contre l’indigence des âmes creuses.

Article paru dans Montrouge Magazine n°102

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Alpes, Catherine Ribeiro, chanson, liberté
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Relax : la colère post-punk de FRUSTRATION

paquita | 24 juin 2010

relaxUn article plus synthétique est paru dans le n° 89 de Montrouge Magazine.

A l’origine de tout processus créatif, il y a un sentiment d’inconfort, une pulsion qui demande l’expulsion, une frustration : “We have some” !! C’est ce sentiment universel, évoqué par la pochette industrielle du disque, que les membres du groupe éponyme ont choisi d’explorer en musique. Biberonnés au punk-rock de Charles de Goal, nourris du son cold de Joy Division, influencés par le rock expérimental de The Fall (entre autres) les Frustration ont créé un album qui mêle énergie “mâle” et sensibilité à fleur de peau. Bénéficiant d’une solide expérience dans la musique underground (ex Teckels, Warum Joe, No Talents, actuellement Anteenagers MC) le quintet rock avec Fabrice au chant, Nicus à la guitare, Manu à la basse, Fred aux claviers et Mark à la batterie, parvient à faire oublier les maîtres. Et c’est bien à cette maturité artistique que l’on identifie les grands, qui les rend immédiatement reconnaissables : différents. Avec Relax (2008) on ne sombre jamais dans l’introspection dépressive, la colère vaut mieux car elle est un moteur, un élan vital. On ne peut pas dire que les textes soient à proprement parler “politiques”,  mais ils ont une portée contestataire, “romantique” au sens initial du terme. Onze titres ravageurs figurent au compteur de cet album au rock sombre, puissant, enrichi d’effets électro et de petites trouvailles décalées. Les titres parlent d’eux-même :  “Too many questions” (qui ne s’en pose pas), “She’s so tired” (qui ne l’est pas) ou encore “Waiting for the bad things” (on ne peut plus clair). Le phénomène identificatoire tourne à plein régime. Les tourments existentiels sont le cœur de l’album : passion déchirée (”Shake me”), amitié en péril (”Relax”), impuissance d’être au monde (”So many questions”), injustice sociale (”As they said”). Chaque titre est un univers à lui seul, comme le martial “Brothers” qui évoque d’un bon upercut la camaraderie de la “working class” et s’inspire des traumas de la guerre. Autre son de cloche avec l’ industriel “Shades from the past” morceau instrumental et inquiétant, qui élargit la palette des Frustrations. Le psychotique “Faster” clos l’album sur une note hurlante et vertigineuse, qui laisse exsangue et orphelin. Encensé par la presse rock, Frustration est une véritable machine de guerre, dont les concerts électriques vous embarquent sans vous demander votre avis. Signés chez Born Bad, label parisien indépendant et spécialiste du vrai rock’n'roll, Relax est également disponible en vinyle, évidemment indispensable !

Discographie : Full of sorrow (mini LP de 6 titres) versions 2004 & 2006 - Relax (album de 11 titres) 2008

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Cold Wave, Frustration, Post-Punk
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Diamanda Galas & Gitane Demone : divas de l’ombre

paquita | 29 novembre 2009

Article paru dans le n° 85 de Montrouge Magazine

Toutes deux natives des Etats-Unis, Diamanda Galas et Gitane Demone officient dans des registres musicaux voisins, déployant des univers sombres et très personnels.

sporting_life Diamanda Galas, personnage hautement charismatique est contemporaine de la scène No-Wave new-yorkaise (1977-1983) mais revendique, contrairement à Lydia Lunch, une solide formation musicale : chant lyrique et piano. Dotée de 4 octaves et fervente lectrice d’Antonin Artaud, elle fera sien le concept du «Théâtre et son double ». La brune étincelante déclame ses textes allant parfois jusqu’au hurlement, en martelant les touches de son piano lors de performances extatiques. Les thèmes de ses concept-albums ne sont pas le fruit du hasard mais celui d’une véritable érudition : la maladie, l’amour et dernièrement le génocide arménien, lui inspirent des pièces musicales poignantes. « Sporting life » (1994) élaboré avec John Paul Jones - bassiste et claviériste de Led Zeppelin - est son album le plus rock et le plus accessible. On la considère généralement comme une artiste d’avant-garde.

facetsofblue3Issue de la scène punk/new-wave et néanmoins très influencée par le jazz et le blues, Gitane Demone participera à l’avènement de la scène Death-Rock (1980) comme chanteuse et claviériste du mythique groupe « Christian Death ». Après une dizaine d’album avec le groupe qui connaîtra diverses formations, elle collabore entre autres avec le chanteur Rozz Williams à des projets parallèles. Expurgé du son rock, « Dream Home Heartache » (1995) est un album romantique et mature. Il marque un tournant dans la carrière musicale des deux complices, et révèle une sensibilité à fleur de peau. Dès 1989, Gitane entame une carrière solo qui la mènera à Amsterdam où elle poursuivra une carrière de chanteuse de jazz. Sur l’album « Facets of blue » elle reprend des standards tels que « Love for sale » de Cole Porter et interprète des titres plus personnels comme « Incendiary Lover », mêlant harmonieusement jazz, rock et expériences électroniques.

Artistes aux voix exceptionnelles, leurs musiques demeurent relativement confidentielles. On espère que ces divas de l’ombre vous séduirons !

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Diamanda Galas, diva, Gitane Demone, Montrouge Magazine
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Retour sur “Crève-coeur” de Daniel Darc

paquita | 3 juin 2009

On vient à une chanson pour la musique. On y reste pour le texte.
Alain Bashung

Sorti en 2004, “Crève-cœur” est un album qui porte bien son nom. Ce qui frappe de prime abord, c’est la maturité qui s’en dégage, que ce soit dans les mélodies, les arrangements, le texte ou son interprétation. Sobriété, émotion, retenue, sont les mots qui viennent de suite à l’esprit. Dès la première chanson, “La pluie qui tombe”, une voix de velours nous invite à entrer dans un univers singulier, un climat poétique où mélancolie et espoir se répondent en écho. Sur “Un peu c’est tout” une flûte aérienne vient alléger un texte qui ne l’est pas, bien au contraire. On retrouve dans chaque morceau cette petite musique de l’enfance. Elle vient rééquilibrer ce qui pourrait sombrer dans la noirceur et insuffle la candeur nécessaire à la distance. Pathos et cynisme sont bannis de cet univers romantique et moderne.  Au fil de cette plongée sonore, la simplicité touchante des textes révèle toute l’étendue de leurs sens. Ces derniers, au nombre de douze, se tiennent toujours à la frontière de la mélancolie et de l’espérance douce-amère. “Psaume 23″, texte emprunté à la bible, est magnifiquement interprété et mit en musique. Il vient clore cette longue prière de chansons poignantes, dans une illumination finale. Daniel Darc est très croyant : “Plus on croit et plus on doute” dit-il. De fait, ses textes sont traversés par des préocupations existentielles et des motifs religieux :

“Pardonnez nos enfances, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont enfantés” glisse-t-il dans “Un peu c’est tout”.

La voix de Daniel Darc est profonde, chaleureuse. Son timbre, son élocution tranquille, nous racontent les errances, les abus, la quête, le poids d’un vécu et l’importance de nommer ce qui anime encore ce survivant : “Je ne regrette pas d’avoir pris de l’héroïne” confie l’ex Taxi Girl. Son visage, marqué mais serein, en témoigne. Il existe une harmonie triangulaire entre l’auteur, son expérience de la vie et l’intime de ces créations. La vie nourrit l’œuvre et inversement. C’est pour cette raison que “Crève-cœur” porte si bien son nom : il vous prend au cœur et ne vous lâche plus.

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Crève-coeur, Daniel Darc, poésie
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Le Cirque des Mirages : un parfum très “fin-de-siècle”

paquita | 6 décembre 2008

Article paru dans le numéro 81 de Montrouge Magazine

Le Cirque des MiragesAimez-vous les voyages ? Les voyages intérieurs qui s’étirent et suspendent les heures… Alors tendez l’oreille et laissez-vous emporter par l’imaginaire fougeux du Cirque des Mirages. Pris dans ce fol équipage, vous vous laisserez guider avec un bonheur mêlé de crainte, par ces lumineux cochers de l’enfer que l’on nomme “Parker & Yanowski”. Ce fiévreux duo piano/chant qui semble tout droit sorti d’un conte d’Edgar Poe, saura vous enchanter par des artifices propres à la magie de ces oiseaux rares que l’on dit, “habités”.

Yanowski, en maître de cérémonie et bonimenteur de foire, manie avec brio l’art du chant et de la comédie un brin gouailleuse. L’homme exhibe un héritage auquel il rend du même coup, un vibrant hommage : celui des chanteurs à texte et autres poètes enragés vêtus de noir. La théâtralité, le jeu expressioniste, glissent du texte à l’interprétation et de l’interprétation à l’auditeur fasciné. Les hululements du piano traversent une gamme émotionnelle riche, dont les humeurs oscillent entre jazz et cabaret berlinois. On le devine dès les premières notes, dès les premiers mots : le Cirque des Mirages ne fait pas dans la tiédeur, il fait dans l’excès, il explore les passions. On en est littéralement transporté, au sens amoureux du terme.

Les références littéraires et poétiques s’énoncent au fil des textes, ciselés par Yann Girard alias Yanowski. Ce sont les vers d’Apollinaire qui plantent le décor : “Les villes sont pleines d’amour et de douleurs, deux plantes dont la mort est la commune fleur”. Puis, on entre dans l’univers des cirques jadis itinérants avec “Le singe”, histoire évoquant l’intrigue du “Double assassinat dans la rue morgue”. “Le terrible enfant à gueule de chien” rappelle quant à elle, la pathétique histoire de John Merrick, l’homme-éléphant. “Du côté de la butte” chanson d’amour spleenétique, fait resurgir l’image des artistes crève-la-faim, ces “Fleurs de bitume” qui hantaient le cabaret du Chat Noir. L’anarchisme burlesque est de mise avec “Chez Mme de la Fressange”, ode contre-bourgeoise à l’humour hystérique et dévastateur. De même que “La véritable histoire du christianisme” chanson anticléricale et démystificatrice, particulièrement désopilante. Un humour naturellement teinté de cynisme jaillit avec “La jambe”, agréable provocation masculine et texte au décadentisme jubilatoire. On hallucine à l’écoute de “La nuit les femmes dansent”, ode Baudelairienne opiacée, qui chante son amour mortifère pour un féminin hypermystifié.

Il y en d’autres encore qui vous feront voyager. Alors, toutes affaires cessantes, remontez le temps et embarquez à bord du Cirque des Mirages…

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cabaret, expressionisme, Le Cirque des Mirages, Montrouge Magazine, poésie
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