Le Cri de la Virgule

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L’amour avec Gitane Demone : Oups ! “it’s dirty, dirty”…

paquita | 15 avril 2009

Voir Gitane Demone sur scène, c’est  l’occasion inespérée de communier avec une artiste extrêmement généreuse. Plus que de partage, c’est bien du “don de soi” qu’il convient de parler ici. Ce concert du lundi 31 mars 2009 organisé par Lionel qu’on remerciera au passage, s’est déroulé au Klub à Paris. La salle est petite, la scène exigüe mais propice à ces échanges riches en émotions.

Cependant, un bref rappel de la carrière de l’artiste s’impose. Car Gitane Demone a occupé une place de choix au sein du mythique groupe Christian Death comme chanteuse et claviériste. Au tout début des années 80, Christian Death inaugura aux Etats-Unis ce que l’on nomme le Gothic Rock, également baptisé Death Rock. Le groupe et ses membres sont des piliers du genre, des références et désormais des inspirateurs. Héritiers du punk et du romantisme noir, les thèmes explorés dans les textes de feu Rozz Williams “punk monté sur talons aiguilles” revisitent le déchirement existentiel de cette nouvelle fin-de-siècle : amour/haine, norme/inversion, vie/mort ou encore Dieu et la notion de péché. Une théâtralité exacerbée se manifeste au plan textuel, musical et scénique. Pratiquement tous les membres du groupe ont évolué en solo ou contribué à de nombreux autres projets, que ce soit par des collaborations internes ou externes au groupe. On retiendra en particulier le sublime album  “Dream Home Heartache” (1995) conçu par Rozz & Gitane.

Gitane Demone. Un nom qui interpelle, qui nous raconte déjà une histoire. Il évoque la bohème, les routes, cette musique un peu sauvage des gens du voyage et leur vitalité, mais aussi la “malédiction” qui pèse sur ce peuple, un héritage que cette “gitane démoniaque” fait sien dans son nom même. Un peu sorcière donc. En témoignent les quatre yeux dont la chanteuse s’est dotée ce soir là, créant un effet d’étrangeté scénique très réussit. Paupières ouvertes, paupières fermées, son regard ne vous lâche pas. Gitane ne cherche pas l’approbation mais convoque véritablement l’émotion du public. Cette voix puissante est chargée d’autres héritages, musicaux ceux-là et bien réels. Ceux de Billie Holiday et Janis Joplin, autrement dit des très respectables écoles du blues et du jazz. Gitane est de ceux, trop rares, qui savent se transcender par le chant et transmettre leurs émotions avec courage. La complexité humaine prend corps dans sa voix pour s’offrir au public. Il est impossible de demeurer insensible à la sincérité de Gitane, quand bien même la justesse de ton n’y serait pas toujours. Ce n’est pas ce qu’on lui demande, ce n’est pas ce qu’elle donne.

Gitane apparait donc sur scène, souriante, visiblement heureuse d’être là. Elle est lookée à la Christian Death, en momie ensanglantée, évoquant l’iconographie de “Catastrophe Ballet”. Je remarque un tatouage en français sur son bras, avec une charmante faute d’orthographe, “L’amour éternelle”. Je pense à celui de Rozz, “Je t’aime”. Ce lien d’encre entre les deux amis, dernière trace par delà la séparation ultime de la mort m’émeut profondément. Bien que la chanteuse se produise ce jour-là sous son nom d’artiste, elle vient également pour présenter son nouveau groupe, The Crystelles, dont la batteuse n’est autre que sa propre fille, Zara. Sont également présents un bassiste et un guitariste. Gitane est une vieille routarde du rock et de la scène. Le concert débute à peine, lorsque l’infortuné bassiste casse sa corde. En grande professionnelle, Gitane n’hésite pas à imrpoviser, elle chantera “a capella” et ce à deux reprises, remplissant le vide et comblant l’attente d’un public fervent. Tout le charme du live et de ces contingences : Rock’n'roll ! Je suis si près du groupe que je peux sentir leur tension nerveuse et jusqu’à l’odeur qu’ils dégagent. A n’en pas douter, ce qui anime Gitane éclate ici et maintenant sur scène, face au public : sa passion pour la musique, pour le chant, sa générosité. Elle ne se ménage pas et donne tout ce qu’elle a. L’émotion puissante qu’elle parvient à extraire des textes et de son vécu, font résonner leur portée symbolique au plus profond des âmes. Se succèdent, dans le désordre (qu’on me pardonne ces inexactitudes) “Incendiary lover”,  “Gloomy sunday” superbe a capella, “Lament” ce duo poignant interprété avec Rozz  Williams, lequel brille à cet instant par son absence. Oh, temps, suspends ton vol… Et puis “Golden age”, “Perv” avec un jeu de scène décalé, Gitane saisissant le micro comme s’il s’agissait de son propre membre. “Manic Depression” spéciale dédicace pour Lionel à la demande pressante d’une certaine N… “Litte birds”, “Cool Domina”, quelques titres fort appréciables des Crystelles et enfin après un rappel très nourri, une reprise de Johny Cash. Je crois bien qu’elle n’avait plus envie de s’arrêter… “I never forget tonight” dit-elle pour conclure ce moment de fièvre intense.

Voilà, c’est ça “faire l’amour” avec Gitane Demone.

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Death Rock, Gitane Demone, Gothic Rock, The Crystalles
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Maxi Magic Monster Show + Le Cirque des Mirages

paquita | 3 avril 2009

Ce mercredi 18 mars 2009 est un jour à marquer d’une pierre blanche. Remercions tout d’abord les programmateurs du festival Chorus pour avoir eu l’audace de présenter “deux cas” un peu part dans le paysage musical français.

Je venais pour le “fabuleux Cirque des Mirages“. Trois-quart d’heure en avance pour être certaine d’être au plus près du miracle scénique, bravant du même coup ma réserve. Un peu avant midi, le chapiteau du Magic Mirror spécialement affrété de Belgique, ouvre ses portes. Drôle de contraste qu’offre ce petit temple de bois doré, flanqué de peintures naïves, au beau milieu de cette laideur glaciale que constitue La Défense. Passons. Nous entrons. La salle se remplit rapidement. A l’intérieur, ciel et murs tendus de rouge, chaises de velours assorties, petite scène déjà animée d’un décor, celui du Maxi Magic Monster Show. Je découvre. Boule de cristal, crâne, objets de bohème, de cirque itinérant genre “Freak Show” ou “New Burlesque” (très à la mode ces dernières années). Je m’inquiète. Je crains le mauvais pastiche, la caricature. J’aurais pu me renseigner et renseignement pris, c’est le Maximum Kouette qui se dissimule derrière le Maxi Magic, tel un avatar polymorphe. Le concert débute. On diffuse sur fond de sirène un discours sur la norme, évoquant l’anxiogène “1984″. S’avancent tour à tour un sombre desperado un brin dandy, un fakir un peu blasé, une jolie automate, un personnage mi-homme mi-femme, une femme-tronc, un “homme fort” un peu grêle, et puis la chanteuse, veuve noire au visage dissimulé. Les costumes sont soignés. Je crains le pire. J’ai vu trop de groupes d’une certaine scène dont je tairais ici le nom, qui n’avaient pas le talent de leurs prétentions. Mes supputations furent démenties. Quelle heureuse surprise ! Nous avons eu droit à un véritable spectacle, concocté par de véritable artistes, musiciens inspirés (contrebasse, banjo, trompette, mélodica, castagnettes entre autres, étaient de la partie) et avec de l’humour s’il vous plaît ! Inquiétée par la chanteuse qui se révéla être une femme à barbe (autre “délire” à la mode), je fus ravie par l’amplitude et le timbre précis de sa voix aux accents “fifties-amerloque”, son aisance sur scène, les références intelligemment glissées dans les textes. On y parle de la vie d’aujourd’hui avec des mots d’aujourd’hui, des amours déçus, des lendemains de fête, des contraintes, on gouaille pour de rire en aiguisant des couteaux, on chante en anglais, en espagnol et majoritairement en français, partis-pris redoutable à gérer avec un son rock, et qu’il faut saluer. Proche du public, ils se sont montrés, vraiment très humains ces monstres charmants, pas bégueules pour un sou et surtout très talentueux. On espère que l’éclectique public du Magic Mirror qui les a applaudit debout (ce qui n’est pas rien) grossira ses rangs pour les suivre de près.

A présent, venons-en au Cirque des Mirages. Je n’avais jamais eu l’occasion de les voir sur scène, mais je les avais beaucoup beaucoup écoutés, surtout l’enregistrement au forum Léo Ferré. J’écoutais en boucle et encore en boucle, imprégnée au point d’entendre ces enragés au cœur de la nuit, venir perturber mon sommeil. Pire : je ne m’en lassais pas, je les écoutais même ! Au matin, sous la douche, chantonnant inlassablement “La jambe” cette pépite décadente, j’imaginais en les mimant, les gesticulations du grand Yanowski et les coups d’œil assassins de l’impassible pianiste Fred Parker. Autant dire que mon attente était immense. J’avais aujourd’hui atteint un niveau d’exigence extrême. Serait-elle enfin satisfaite ? En aurais-je pour mon idolâtrie ?! J’en suis encore éblouie. On installe le piano, le pied et son micro. Parker débarque, décontracté, l’œil allumé, bientôt suivi de Yanowski, géant vêtu de noir, veste trois-quart, cheveux plaqués, yeux charbonneux, une allure folle, Bela réincarné !  Un frisson me parcourt l’échine. En maître de cérémonie, l’artiste syncrétique commence par se livrer à un petit exercice d’hypnose collective sur l’auditoire déjà fasciné. C’est un nouveau spectacle. Sa thématique : le temps. Ces temps explorés (fin dix-neuvième, début vingtième) sont mêlés : histoires, contes de mort et d’amour, saynettes cinématographiques, incarnations échevelées de personnages mythiques (l’apothicaire, l’artiste crève-la-faim, le petit malfrat) se succèdent dans un tourbillon sonore en noir et blanc. Le chanteur aux allures de danseur, suant sang et eau, se démène, se déplie, allongeant ses membres comme une marionnette aux mouvements autonomes, suivant le rythme du piano ou bien sont-ce les notes qui tirent sur ses membres souples ? Le jeu de scène du Cirque des Mirages est à la fois sobre et expressionniste, diaboliquement précis, tout en élégance : deux hommes noirs dans la lumière. Mais comme j’ai été hypnotisée pendant plus d’une heure, je ne peux pas dire que ma mémoire soit tout-à-fait fiable dans le récit de cette performance… Je me souviens néanmoins que le public les a acclamés debout, tandis que je restais éberluée, sous le charme de ce “mirage scénique” tant attendu. Ce fut une envolée magique, hors du temps présent, rien que ça.

Tout de même, un dernier mot messieurs les poëtes : “Bis !”

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Festival Chorus, Le Cirque des Mirages, Maxi Magic Monster Show
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Yvette Leglaire : qui aime bien, charrie bien !

paquita | 7 décembre 2008

Yvette LeglaireEt il faut l’aimer la chanson française, pour se permettre de la railler avec autant de malice ! Car Yvette Leglaire n’est pas qu’une délirante caricature des chanteuses à texte et de leur mégalomanie. Le personnage parodie aussi les fans inconditionnels, dont elle fait assurément partie.

Mélange étrange et loufoque, le phénomène se situe quelque part entre Gréco la tragédienne, Elvira la vulgaire et l’antique Alice Cooper. Le mythe à l’éternelle robe noire s’est en outre affublé d’un nom de scène à la hauteur de ses intentions : Yvette Leglaire, croisement entre la folie kitsch d’une Yvette Horner, et d’un patronyme qui évoque le niveau fluctuant de la subtilité comique. Et oui, quand on ne se prend pas au sérieux, comme c’est le cas pour ce grand travelo décati qui refuse obstinément de quitter son PUBLIC, on dit parfois de viles grossièretés qui feraient rire, même les admirateurs de feu la gravissime Barbara.

Le Cri de la Virgule s’en va donc vous conter cette rencontre, comment dire, mémorable : c’est en nous rendant au Point Virgule (cousin éloigné) pour assister à la performance de l’incarnation du croquemitaine Didier Super, que notre attention se porta pour le première fois sur le visage radieux (ci-dessus) de la grande dame injustement ignorée de la chanson française. Nous avions ouï-dire que LA LEGLAIRE s’était commise dans une émission de télévision type radio-crochet, afin de faire connaître au grand PUBLIC, l’étendue “dévastatrice” de son talent. Nous aurions pu facilement, en quelques clics, la découvrir sur Internet mais, rattrapée par l’image envoûtante de cette ténébreuse beauté annonçant une artiste rare, nous nous ravisâmes, décidant de préserver l’émoi du premier contact scénique.

Comme nous avions raison ! Le jour “j”, accompagnée de son pianiste, moustachu malingre et introverti, la plus réaliste, la plus authentique des chanteuses, fit dans la lumière, son apparition, merveilleuse épiphanie, en chantant l’air bien connu : “Me vl’à, me vl’à me vl’à me vl’à me vl’à, Me vl’à” !!! Telle une apôtre de la chanson française, Yvette nous introduit sans fausse pudeur dans son boudoir, sa mythologie, après 35 ans d’une douloureuse absence : “Quand j’ai commencé ma carrière, c’était en 1914… oui ! je me souviens ! j’ai chanté pour les poilus, j’ai d’ailleurs rencontré un grrrand succès avec Viens m’troncher dans les tranchées” !! Ah !! Yvette canaille, Yvette gouailleuse, Yvette gueularde, Yvette plaggiée par des consoeurs et confrères peu scrupuleux (Aznavour, Brel, Piaf , tous !) Yvette artiste complète, muse de Cocteau (il la surnommait la muse-gueule), actrice (80 films muets à son passif), danseuse de music hall internationale (elle détrôna Judy Garland), amoureuse (on ne la quitte pas !) alcoolique (c’est pour sa voix), tyrannique (comme tout génie qui se respecte), c’est tout ça Yvette Leglaire, une alchimie complexe, indescriptible, disons-le simplement, fascinante.

Enfin que dire de ses TEXTES ? Des mythes, certes, un peu mités mais tellement imités ! J’aime les bananes, par exemple, bouleversante interprétation qu’un certain Serge Lama lui ravît, un soir de beuverie, pour en faire le putassier Je suis malade, honteux plaggiat contre lequel LA LEGLAIRE, artiste indé avant l’heure, s’indigna dignement : “Je refuse la compromission du succès CommeRRRcial” !

Yvette Leglaire est peut-être hors d’âge, mais elle ne sera jamais hors d’usage ! Car en dépit de ses 75 ans de carrière, elle l’a promis : “Je ReviendRRRais”!!!

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chanson réaliste, humour, Yvette Leglaire
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